Maxence Descamps

Comédien, auteur, metteur-en-scène

Mes textes

Mediation artistique et culturelle

Vous trouverez sur cette page des aperçus de mes textes et les liens pour vous en procurer certains.
Il y a évidemment de nombreux textes de théâtre, mais vous trouverez aussi de la poésie.
Les textes ne sont pas déposés à la SACD. J'ai toujours fonctionné à la confiance et souhaite continuer ainsi. Si vous souhaitez jouer un de mes textes, je vous remercie de me contacter. Nous tâcherons de trouver un arrangement juste ensemble. Selon l'usage que vous en ferez et le statut de votre compagnie, cela peut aller de la gratuité pure et simple (pour des amateurs qui reversent les recettes à un organisme de charité) à un partage des recettes pour les compagnies professionnelles.
Une chose est certaine : je n'impose jamais de minimum forfaitaire (comme le fait la SACD) pour être certain que vous ne perdrez jamais d'argent en jouant mes textes.
J'oubliais ! Si vous ne les jouez pas mais que vous avez aimé, vous avez évidemment le droit de m'écrire pour me le dire !!!

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Textes de théâtre

Comédies, drames, etc.
de 65 à 90 minutes / pour 1 à 8 comédiens

illustration textes de théâtre

En jeu !

Le public est installé, impatient de voir la première de Roméo et Juliette. Mais une malencontreuse inversion sur l'agenda a induit les comédiens en erreurs : ils croyaient venir pour une répétition. Et, à dire vrai, rien n'est prêt ! La pauvre Astrid, metteur-en-scène du spectacle, va rivaliser d'ingéniosité et d'actes désespérés pour que la représentation ait lieu tout de même. Entre vrais extraits, adaptations et raccourcis, on se régale de cette sublime débandade !

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C'est une journée apparemment comme les autres pour la famille Picoret. Sauf que :
- c'est l'anniversaire de la mère de famille
- tout le monde (ou presque) l'a oublié
- la voisine a estimé que c'était le bon jour pour mettre son grain de sel
- une psychologue débutante a décidé de prendre pour sujet d'étude cette famille
Tous les ingrédients sont là pour que la situation dégénère ! Entre coups de théâtre, règlements de compte et révélation, personne ne va sortir indemne de cette journée !

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Iro, Blum et Colt sont enfermés dans un cocon routinier. Colt dispose d’une capacité de 2 minutes de mémoire immédiate. Blum est capable de remonter six minutes en arrière environ. Quant à Iro, on ne sait pas.
Ces personnages ont leurs petites routines.
Tout bascule lorsqu’apparaît un quatrième protagoniste. Peut-être était-il caché depuis suffisamment de temps pour qu’ils oublient son existence ? Mais à l’instant où cet intrus leur annonce qu’il a une mémoire, et surtout qu’il est venu pour les libérer, rien ne va plus : l’équilibre est rompu !
Une comédie philosophique aux accents de pièce d’anticipation et de drame… Le spectateur se laisse prendre dans le filet qui lui est tendu, et devine au fil des minutes, jusqu’au dénouement final, l’histoire qui accompagne les personnages.

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M. Rodrigue est fier d'être gardien du musée de son petit village. Il faut dire que le Musée de la Fontaine d'Intérieur fait se déplacer des gens de tout le département !
Mais cela ne suffit pas à M. Lemére, maire du village, qui voudrait de l'innovation ! Et de l'innovation, il en aura : aujourd'hui, une équipe d'activistes révolutionnaires contre la bien-pensance a décidé d'infiltrer le Musée ! M. Rodrigue se retrouve au milieu de cette action sans vraiment pouvoir agir, si tant est qu'une action soit nécessaire tant les assaillants semblent désorganisés !
Une comédie légère à l'humour déjanté... mais pas si loin de la réalité !

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  • Les Monologues de Feydeau, mais à deux (en cours de mise en page)
  • Potentiellement (en cours de mise en page)
  • Le plus beau Métier du Monde (en cours d'exploitation)
  • Théâtre-Forum (en cours d'exploitation)
  • Faut qu'on parle ! (en cours d'exploitation)

Tous mes ouvrages

Recueils de Poèmes

rRcueils thématiques ou chronologiques
plus de 200 poèmes / écrits entre 1996 et 2018

illustration textes poèmes

A fleur de peau...

Je n’étais plus un enfant, mais pas encore un homme. Je n’étais pas encore moi-même, mais j’y tendais. En l’espace de trois ans, une éternité pour le jeune homme que j’étais, plusieurs centaines de poèmes furent composés. En alcoolique abstinent, rares furent les jours sans vers. Il y était question d’amour, souvent. C’est peut-être gnangnan, probablement démodé, mais c’est son histoire.
Ces textes ont sommeillé des années. Plus de dix ans. Puis il ont été triés et découpés en actes et scènes, d’une vie théâtrale, avant de s’oublier dix années de plus.
Aujourd’hui, je les exhume. Quelques retouches orthographiques et de mise en page, mais aucun vers n’a été modifié. Quelques poèmes ont été replacés, oubliés de mon histoire. La plume ne m’a jamais quitté. Mais de la poésie, je suis passé au théâtre. J’ai bien tenté de coucher quelques vers, un peu, mais la transformation était finie : l’homme ne rimait pas.
Je publie les textes tels quels. Aucune explication. Les dédicaces et les dates suffisent à raconter. Ils sont découpés en huit actes. Ce livre regroupe les actes I, II et III.
Dans le premier acte, le lecteur trouvera mes premiers textes. Il assistera à la naissance de ma sensibilité d’adulte. Il n’y est pas question d’histoire d’amour, mais d’amour de la vie et de ce que l’humanité a produit de plus beau.
L’acte II traite d’histoires d’amour qui n’ont pas existé. De simple chimères.
Dans l’acte III, est évoquée celle qui a déclenché les feux du jeune homme que j’étais. Une histoire qui n’a eu ni début ni véritable fin. Un prétexte à aimer.

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Je n’étais plus un enfant, mais pas encore un homme. Je n’étais pas encore moi-même, mais j’y tendais. En l’espace de trois ans, une éternité pour le jeune homme que j’étais, plusieurs centaines de poèmes furent composés. En alcoolique abstinent, rares furent les jours sans vers. Il y était question d’amour, souvent. C’est peut-être gnangnan, probablement démodé, mais c’est son histoire.
Ces textes ont sommeillé des années. Plus de dix ans. Puis il ont été triés et découpés en actes et scènes, d’une vie théâtrale, avant de s’oublier dix années de plus.
Aujourd’hui, je les exhume. Quelques retouches orthographiques et de mise en page, mais aucun vers n’a été modifié. Quelques poèmes ont été replacés, oubliés de mon histoire. La plume ne m’a jamais quitté. Mais de la poésie, je suis passé au théâtre. J’ai bien tenté de coucher quelques vers, un peu, mais la transformation était finie : l’homme ne rimait pas.
Je publie les textes tels quels. Aucune explication. Les dédicaces et les dates suffisent à raconter. Cet ouvrage regroupe les actes III à VI sur les huit qui composent le recueil.
L’acte IV est le premier qui voit grandir le jeune homme. Il a déjà eu des histoires d’amour, légères, furtives. Etaient-elle réelles ? Dans cet épisode de sa vie, l’amour et l’amitié s’entremêlent. Un premier choix à faire. Et la première brûlure. Le lecteur y découvrira un poème de mon ami Arnaud Lannoote, avec lequel j’ai passé de merveilleuses années !
L’acte V est une coupure. Une pause dans la quête d’amour. Les textes ont été écrits à différentes périodes. Ils sont regroupés ici, mais parsèment le chemin du jeune homme que j’étais.
L’acte VI est un nouveau tournant. L’amour n’est pas facile. Celui dont il est question dans cet acte aura été plus douloureux que réconfortant. Une période à double tranchant. Faire mal ou se faire mal ? Souffrir pour écrire ? La question se pose aujourd’hui…

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Je n’étais plus un enfant, mais pas encore un homme. Je n’étais pas encore moi-même, mais j’y tendais. En l’espace de trois ans, une éternité pour le jeune homme que j’étais, plusieurs centaines de poèmes furent composés. En alcoolique abstinent, rares furent les jours sans vers. Il y était question d’amour, souvent. C’est peut-être gnangnan, probablement démodé, mais c’est son histoire.
Ces textes ont sommeillé des années. Plus de dix ans. Puis il ont été triés et découpés en actes et scènes, d’une vie théâtrale, avant de s’oublier dix années de plus.
Aujourd’hui, je les exhume. Quelques retouches orthographiques et de mise en page, mais aucun vers n’a été modifié. Quelques poèmes ont été replacés, oubliés de mon histoire. La plume ne m’a jamais quitté. Mais de la poésie, je suis passé au théâtre. J’ai bien tenté de coucher quelques vers, un peu, mais la transformation était finie : l’homme ne rimait pas.
Je publie les textes tels quels. Aucune explication. Les dédicaces et les dates suffisent à raconter. Ils sont découpés en huit actes.
L’acte VII peut être vu comme une parenthèse pour le lecteur. Cette période a été vécue comme telle. L’envie d’aimer, non pas pour le corps, mais pour l’esprit, pour la joie. L’envie d’être plus qu’ami, sans être amants.
L’acte VIII est le dernier de la construction. De la première construction, dirons-nous, car le chapitre qui s’ouvre ensuite (« Un Ange passe ») sera la dernière étape avant de devenir l’adulte que je suis. Le jeune homme romantique que j’étais a mis du temps à passer le pas de l’acte d’Amour. Cet acte VIII est celui du passage.
J’y ai ajouté le recueil « et l’amitié », qui ne figurait pas initialement dans la série des Actes.

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Ce recueil de poèmes regroupe des textes écrits par un jeune homme de 18 ans. Rares sont les jours sans poème !
Ce jeune homme était amoureux. Il sortait de l’adolescence. Il se croyait adulte. Il se trompait. Ces textes ont sommeillé vingt ans.
Je les ai exhumés, il y a peu, n’y replongeant le nez que pour les remettre dans l’ordre et unifier la mise en page.
Ce recueil est comme un journal intime, scrupuleusement tenu, mais rongé par les vers. C’est parfois obscur, parfois léger, parfois limpide et parfois pesant.
Je ne le commente pas, en dehors de cette courte introduction. Les événements transparaissent au fil des dates qui s’égrènent. Cette histoire a duré deux ans. La première année est sur-représentée. Pendant la deuxième, le jeune homme mûrissait. Il découvrait la vie à deux. Je souris en pensant : « la routine ».
L’histoire a connu une fin. Pas une fin de film ou de roman. Une demi-fin, en plusieurs fois. Une fin longue et douloureuse. Une fin qui ne voulait pas finir. Mais, finalement, une fin.
Le lecteur plongera dans les méandres d’un cœur en construction. Il verra un château de cartes s’édifier comme une forteresse. Il sourira sans doute de la naïveté. Il sera peut-être ému par de jolies formules.
Je lui souhaite un bon voyage dans les fondations de ma personne.

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Une histoire d'amour qui mit près de 3 ans à naître.
Des chemins séparés, qui ne sont pas évoqués dans le recueil, mais une histoire qui finit bien.
Parce qu'elle ne finit pas.

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